Itinéraire par la face Sud-Ouest, c'est à dire, depuis Prapoutel, en passant par le Habert d'Aiguebelle, au pied du Pas de la Coche.

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1h de roulage sur l'une des plus belle piste du Grésivaudan jusqu'au habert, 2h de portage jusqu'au sommet.

• La descente est un peu technique mais pas trop.

• Les paysages sont... ce qui se fait de mieux en Belledonne.

• C'est sans dangers particuliers.

• Le sentier est très propre.

• Les randonneurs nous encouragent comme au Tour de France! (c'est assez rigolo ça)

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Précaution : C'est mieux si vous avez un sac à dos sur lequel il y a des sangles périphériques avec lesquelles accrocher le vélo sur votre sac. Vous verrez ainsi que 2 heures de portage avec les mains libres c'est moins fatiguant que 2 heures de roulages. Autrement c'est vrai c'est galère.

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Si vous viendez, et que vous aimez les descentes un peu technique,et qu'au delà de l'Appel de la Foret, il y a l'appel des sommets, je vous promet l'une de vos plus belle sortie à VTT - et il y a encore un peu de neige là haut...

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​Premiére tentative avec ludovic

Parti à 8h30 @1350m, Il nous a fallu 1h30 pour atteindre le télésiège des Chamois, sur une piste pentue mais roulante.
Une heure supplémentaire de poussage intégral, au dessus de la mer de nuage, pour atteindre le sommet du nouveau télésiège de la Pouta, à qui il ne manquait que les câbles, @2380m.
 

Et là ça ce corse. Ce fameux petit portage aérien dont je faisais l'écho et qui devait épicer un peu tout ça, pour atteindre la Cime, s'avère être un authentique portage sur crête vertigineuse - et outre que d'être ambitieux, moi perso j'ai le vertige. Pour Ludovic, ça marche mais visiblement ni pour moi, ni pour mes chaussures clic-clac.
 

Vous l'aurez compris, demi tour, suivez l'itinéraire bis, direction Pincerie via le Dôme des Oudis - 30min de poussage supplémentaire entre deux tranches de descente sur pistâsse. On à rencontré un type à la soixantaine bien entamée, pousser un vélo des années 80, cadre acier, frein à patins, direction la cime de la Jasse. Quelle santé!
 

Après un casse croute bien mérité et dans l'espoir d'un dessert, nous essayons de trouver une descente T5 au Cul du Pet, au dessus du Merdaret. Les locaux ont sûrement beaucoup d'humour pour trouver des noms rigolo à leurs montagnes, nous on a pas trouvé le sentier. Ivre de désespoir, au lieu de faire demi-tour, nous avons choisi de faire bien mieux, nous avons choisi de nous perdre en forêt.
 

Faut dire qu'on avait faim l'un comme l'autre. Heureusement, un super single joueur nous offre une chaude descente dans l'atmosphère, et nous avons fêté tout ça devant des binouzes à Theys.
 

Merci Ludovic d'en avoir été!